Il est triste, meurtri et en colère. Lui, c’est Fabrice Bauwin, jeune tatoueur de Pepinster. Une nouvelle fois, il va devoir s’arrêter de travailler. Et il ne comprend pas pourquoi. Car malgré qu’il ait investi et fait les aménagements nécessaires pour répondre au protocole sanitaire, il est, comme tout ses collègues, obligé de fermer son salon de tatouage sans davantage d’explications. Cette fois, la coupe est pleine.