Les portes de la salle du VBC d’Aubel s’ouvrent enfin. Les joueuses y ont enfin accès. Un des grands changements, c’est évidemment la possibilité de retrouver le ballon lors des entraînements. Avant cette autorisation, les coachs ont dû s’adapter en préparant des entraînements exclusivement physiques à l’extérieur. "Maintenant, c’est plus simple et plus amusant. Il faut veiller à ce que tout le monde se désinfecte avant l’entraînement. Mais pendant c’est sûr que les filles se passent la balle", explique Pierre Vanspauwen, l’entraîneur responsable.
Le VBC d’Aubel compte 4 équipes qu’il faut entraîner en simultané. Deux en promotions, une en P2 et une en P4. Pour l’instant, les joueuses s’entraînent deux fois par semaine. Une fréquence suffisante selon le coach pour se remettre en forme avant la prochaine saison qui débutera fin septembre. En saison, ce sera 4 fois par semaine pendant deux heures. C’est une demi-heure de plus qu’actuellement.
De gros Challenges à venir pour les équipes aubeloises !
Les entraînements deviennent de plus en plus normaux au fur et à mesure du déconfinement. Une bonne chose pour les Aubeloises qui auront besoin d’être en très grande forme pour la saison prochaine. En effet, même si Aubel a renoncé à la ligue A pour différentes raisons, ses différentes équipes feront face à de gros challenges la saison prochaine.
Notamment, pour l’équipe de P2 qui était en P4 la saison passée. "On ne va pas avoir d’impératif au niveau des résultats avec cette équipe cette saison", explique le coach. Aubel vise tout de même le maintien en P2.
Pour les deux équipes de promotions, ce sera aussi un gros challenge. La première vient de P1, l’autre de P3. Il va donc falloir avoir les épaules solides pour Aubel qui pourra compter sur un club carolo pour les supporter : Le Tchalou. Un club avec qui ils sont en train de conclure une collaboration pour profiter de leur expérience en Ligue A.
En attendant les challenges de la saison prochaine, les joueuses d’Aubel sont ravies de reprendre les entraînements un peu plus normaux avec leurs coéquipières.