Il y a quelques jours, le scandale sanitaire et alimentaire, Véviba, jetait une nouvelle fois l’opprobre sur la filière bovine mettant en avant les profits générés par les abattoirs et ateliers de découpe au détriment du travail réellement fourni par les éleveurs.
Aujourd’hui, une autre menace place sur les producteurs, le Mercosur, du nom de ce traité de libre-échange entre les pays d’Amérique du Sud et de l’Union européenne. Le syndicat agricole, Fugea, s’inquiète de cette concurrence sud-américaine. Nous avons rencontré Quentin Goffinet, administrateur de la Fugea et agriculteur bio à Bellevaux, sur les hauteurs de Malmedy.