Dans les secteurs de la coiffure et de l’esthétique, les réactions après l’annonce de leur fermeture par le Comité de Concertation, sont, évidemment, très fortes. La pilule est d’autant plus difficile à avaler pour les esthéticiens et esthéticiennes qui avaient repris le travail le 1e mars, après les coiffeurs et les barbiers. Des professionnels du bien-être qui étaient heureux de retrouver leurs clients après plusieurs mois d’arrêts et qui s’apprêtent donc à refermer leur établissement jusqu’au 26 avril. Nous avons rencontré Estelle, gérante d’un salon d’esthétique à Andrimont. Comme ses collègues, elle est en colère.